C'est une nouvelle au Camp Jupiter, et quand on a demandé qui voulait la prendre en probatio, j'ai pas hésité et je me suis proposé avant que quelqu'un puisse réagir. J'avais envie de prendre un nouveau sous mon aile, et mon dévolu c'est jeté sur elle. Mais rapidement, on a développé un lien plus fusionnel, on est vraiment proche, mais en même temps on se taquine tout le temps à propos de nous, genre moi parce que je suis pansexuel et toi parce que tu as peur des clowns. En prime tu m'as tout de suite reconnu, vu que je suis connu un peu partout dans le monde, et du coup, on s'est mit à parler de nos vies en dehors du camp, et c'est rare ça, parce que les gens sont trop à fond dans la guerre et tout. Et on a aussi instauré un jeu entre nous, des paris, si quelqu'un n'arrive pas à résoudre le gage que l'autre lui a donné il doit le servir pour une tâche unique qu'il n'a pas envie de faire.

Entre Roxane et moi ça n'a jamais vraiment été la joie. Au départ, elle a clairement désobéi à es ordres mettant mon autorité en doute, mais bon je l'ai rembarré directement, et elle n'a pas renchéris. Sauf que je n'ai toujours pas digéré ça du coup, dès que je te vois, j'en profite pour te lancer des piques, qui font peut-être mal, mais au moins tu arrêtes de n'en faire qu'à ta tête. Par contre je n'aime pas cette attitude que tu as à me dire que je suis inutile au Camp Jupiter à cause de mon métier. Oui, je suis peut-être mannequin, mais je suis aussi un très bon combattant, et celui qui dit le contraire se retrouvera avec l'une de mes deux lames sous le menton. Peut-être qu'en réalité tu es une pauvre fille avec un triste passé, mais je n'arrive pas à me faire de cette impression de naïveté et de désobéissance qui tourne autour de toi. Je suis têtu, et ça tout le monde l'a compris.

Ma petite maman, même si je sais que tu n'es pas présente dans ma vie, je sais que tu as aimé mon père et que tu m'aimes aussi. J'aimerais pouvoir être plus souvent à tes côtés, parce que ta présence me manque affreusement, mais ce n'est pas possible, les dieux n'ont pas le droit d'avoir de contact avec leurs enfants, règle qu'on a un peu transgressé quand même, on se parle de temps en temps grâce aux Iris-Mail. Bon, il faut que j'utilise d'étrange pièce mais c'est pas grave, j'en ai un petit stock pour être un peu plus proche de toi. Étrangement, je me sens lié à toi, parce que je te défendrais toujours contre les mauvaises langues et toi contre tous ceux qui me veulent du mal, même si ça doit déclencher une dispute entre dieux. Tu me l'as clairement dit une fois. Je t'aime vraiment maman, et il me tarde de pouvoir te serrer dans mes bras. Tu me manques, et j'ai hâte de te reparler prochainement.

Au départ je ne savais pas pourquoi j'avais autant de chance en amour, je tombais facilement amoureux, mais ce n'était souvent que des bagatelles, enfin si on peut appeler ça de la chance quoi. Mais depuis que j'ai appris ma condition demi-divine, toi, déesse de l'amour, tu m'as aidé à surmonter tout ça, et la mort de mon père aussi accessoirement. Mais depuis peu, je dois t'appeler belle maman je crois bien. C'est vrai tu es la mère d'Alban et comme je "sors" avec lui, ça fait de moi ton beau-fils, même que tu nous aides un peu quand on en a besoin dans nos petits problèmes de couple, je t'en remercie d'ailleurs.

Cora ... L'une de mes nombreuses ex. On est sortis ensemble pendant quelques temps après s'être rencontré au Camp Jupiter, c'était beau, et presque fusionnel, comme à chaque fois je présume. Mais en réalité, on avait trop de choses qui commençait à nous ronger, mon travail qui me prenait trop de temps, toi ce garçon Laser, qui devenait trop important à tes yeux, même si aujourd'hui il a mystérieusement disparu, voir même mort, car on ne sait rien à propos de sa disparation. Puis on a décidemment finit par se séparer. C'était douloureux, je t'aimais vraiment, sache le. Mais l'on est resté amis, et en de bons termes, si seulement ça pouvait être pareil à chaque fois. J'espère que ça le restera, en prime, connaissant certaines personnes qui aiment mettre leur nez où il ne faut pas, ça risque d'être mouvementé ...

A vrai dire, au départ on ne se m'aimait pas vraiment, enfin si, mais disons que c'était pas tous les jours tout beau tout rose. Comme ta mère était une brute tu étais en bonne voie pour devenir comme elle, voir pire. Tu passais ton temps à t'entraîner ou même encore à remplir tes fonctions de cheffe de cohorte, franchement, on peut rire dans la vie aussi, et je ne me gênais pas pour te le rappeler ce qui par moment t'agaçais. On en est même venus aux mains et aux armes quelques fois, mais rien de bien méchant.
Mais aujourd'hui, on s'entend plutôt bien, parce que oui, tu as quitté le camp, mais oui tu es plus ouverte et commence à vivre pleinement ta vie. Du coup on se retrouve par moment pour boire un verre comme des enfants et refaire le monde en nous racontant nos vies respectives.

Monsieur le jaloux. Tu sais tu m'énervais à toujours me jalousais parce que j'ai été élu Chef de Cohorte et Consul, j'ai rien fais pour, en plus je ne me suis même pas vraiment proposé. Le pire c'est sûrement lorsque tu me lançais des attaques verbales, en apparence je faisais genre que ça m'amusais mais au fond, tu m'agaçais plus qu'autre chose, et le fait que j'essaye de te raisonner que cette crise de jalousie était idiote n’arrangeait rien franchement.
Par contre depuis peu, tu changes un peu d'optique même si tu restes jaloux sur le fond, tu deviens de plus en plus sympa avec moi, bien entendu je n'y crois pas, tu as sûrement une idée derrière la tête, serait-ce mon côté paranoïaque qui ressort ? Peut-être, mais j'espère pas, parce que sinon, gare à ton matricule camarade romain.

Tu sais, il y a des choses qui ne s'expliquent pas, et notre lien en fait partis, mais pour garder contenance, je vais essayer de le faire, même si ça risque d'être pitoyable par rapport à la réalité : Je crois que je t'aime, enfin non j'en suis sûr, oui je t'aime d'un véritable amour, même si ça te fait peur autant qu'à moi. De ton côté peur d'éprouver des sentiments pour un garçon, ce que je comprends, et moi peur d'être déçu par l'amour, oui une fois n'est pas coutume. Tu m'évites et ça m'agace prodigieusement, mais je ne peux m'empêcher de penser à toi jours et nuits, tu habites mes rêves et mes pensées, et à chaque fois que je te vois, c'est comme si Vénus m'envoyait des faire-parts pour m'inviter à t'embrasser devant tout le monde, un peu pathétique comme comparaison, mais c'est ce que je ressens. Et désolé de t'embêter avec ça, mais je sais que tu m'aimes aussi, ne le nie pas.

Seth ... Quelle histoire, bon on commence au commencement ! On s'est rencontré au Camp Jupiter lors d'un entraînement, on était gonflés à bloc ! On a bataillé pendant je dirais au moins une bonne heure, du coup on a décidé de continuer à s'entraîner ensemble, mais rapidement on est devenu de bons amis. Mais au fur et à mesure, j'ai eu envie de toi, d'une manière différente, et bizarrement tu n'as pas opposé de résistance quand j'ai commencé à te draguer. La nuit s'est rapidement terminé en galipettes. Ouais, et alors ? J'ai pas honte. Même si on évite d'en parler, les fait sont là. A part cet évènement, on reste toujours amis et on s'entraîne encore de temps en temps ensemble. Par contre quelque chose me chiffonne, tu as l'air de venir d'un autre pays ou les appareils électroniques n’existent pas, du coup je dois tout t'apprendre. Je ne te pose pas de question, mais un jour, ma langue va être plus forte que la raison.

Mon beau-père. Franchement, tu m'agaces mais ça m'amuse, je sais que tu es amant avec ma mère, je suis comme elle, je sais écouter les vents, ils racontent de bons secrets. Mais en même temps tu fais un peu ton lèche-cul avec moi. Et je déteste ça. Tu m'offres toujours des cadeaux, peut-être parce que tu caches quelque chose. Mon côté paranoïaque ressort une fois de plus, mais je ne peux m'empêcher de me demander s'il n'y a pas une raison à tous ses trucs que tu m'offres, parce que sérieusement, je vais en faire quoi de tout mon fourbis venant de toi ? Te les renvoyer en offrande, ça ferait mauvais genre surtout venant de moi. Mais si tu continues, je ne pourrais pas m'empêcher d'aller fouiner un peu et essayer de découvrir ce que tu caches, surtout si c'est pour éviter de la souffrance à ma mère croit moi.